[RP ouvert]Voyage au coeur du temps Helgahst

Cette aventure complètement nouvelle et inspirée des collections "un livre dont vous êtes le héros" va vous envoyer tout droit dans un monde disparu et détruit : la Terre des Races. C'est en effet, la terre originelle des puissants Helgahst de l'unvers 54 d'ogame. Vous allez voyager au coeur de ses montagnes, prairies et villes. Mais s'aventurer hors des villes n'est pas sans danger pour des paysans sans expériences dans la survie et le combat. Vous êtes dans un univers peuplé de millions de créatures étranges et parfois redoutables. Comment jouer ? Cela est bien simple, un clavier à la place d'un crayon, votre tête pour le travail d'écriture et des dès numériques et de l'IMAGINATION. Vous pouvez arpenter les territoires de la Terre des Races, en solitaire tel qu'un badaud ou un chevalier érrant, ou bien en groupe où vous fonderez une compagnie d'aventurier prêts à tout pour raflez un gros trésor. Avec les aventuriers c'est toujours pareil, un trésor et ils sont intérréssés. Je pense avoir votre attention maintenant. Créer votre personnage si ce n'est pas encore fait, lisez l'initiation présente dans la partie Role Play du forum, sinon vous ne pourrez pas partir à l'aventure. Nul n'est jamais revenu entier ou vivant des explorations incertaines des anciennes mines Naines, des bois enchantés, des profondeurs du Lac Cromato, ou bien des territoires damnés conquises par le seigneur noir Loki. - Vous ! Vous avez décidé de partir à l'aventure à votre tour, et de tenter votre chance ? Etes vous bien conscient des perpétuels dangers qui rodent en dehors des villes ?
- Très bien. C'est à VOUS que revient la lourde tâche de faire honneur à votre personnage d'une race quelquonque vers la gloire ou bien sa mort digne dans un grand combat. Bonne chance, et que Crôm soit avec vous.


Tour 1: Présentation et amitié au tavernier

Je tiens à vous féliciter jeunes aventuriers. Vous avez survéçu aux premières épreuves sur le chemin menant à la Taverne "à la bonne cruche". Il est tard et noir dehors. Vous êtes facilement rentré dans la taverne Vous êtes chacun assis à votre table regardant votre bière et jetant quelques regards suspects à la serveuse. Vous vous demandez pourquoi et ce qu'il vous a passé par la tête d'avoir quitté votre campagne et de partir à l'aventure. C'est pas si facile de trouver quelque chose à faire et de se rendre utile. Vous etes seul à parler à votre bière, il faudrait sans doute arrêter pour aujourd'hui avant que quelqu'un le remarque et vous balance dehors avec les sans abris. Il ne passe pas deux secondes après cette remarque que vous vous mettez à hurler dans la taverne et à chanter n'importe quoi dans votre dialète natale. Tous les poivrots vous regarde et vous commencez à avoir honte, mais ces derniers vous suivent de bons coeurs et vous payent une tournée. - Mais quel exploit, quel charisme ! Vous avez décoincé les paysans de Doroestera. Cela vous fait monter au niveau 1 des aventuriers. Vous pouvez maintenant dire "j'ai de l'experience et je suis un aventurier!" Oui, car au niveau 0 vous n'êtes rien dans la Terre des Races. Depuis une minute vous emettez un signal au bureau des quêtes et des aventuriers, un sorte de service qui peut vous faire recruter pour une quête de classe nulle ou exceptionnelle. - Vous êtes faits pour l'exceptionnel, et non pas aller retrouver les poules de l'archimage HOufuf. Vraiment minable n'est-ce pas ? Bien sûr les embauches pour les quêtes, cela n'arrive pas dans la seconde surtout si vous êtes seul et de niveau 1. On ferra plus confiance à une puissante compagnie qu'à un(e) paysan(ne). Si vous cherchez bien vous trouverez dans cette réunion d'alcooliques des aventuriers qui voudront partir à l'aventure avec vous et montez votre popularité dans les dossiers d'embauches du bureau des quêtes.

Objectifs du tour 1:
- Présenter plus en détail son personnage (races, ect .., passé, particularités, contraintes (IVENTEZ !)
- Raconter la soirée dans la taverne " à la bonne cruche" dans laquelle vous avez gagné votre premier niveau.
- Retrouvez d'autres aventuriers par différents moyens (à vous de choisir), et essayer les convaincre de créer une compagnie.
- Inventez, innovez ...



AIDES :
Créer un personnage facilement:
- Générer la feuille de personnage dans son profil ou demander au MJ par MP (il est la pour ça)
- N'oubliez pas les caractéristiques à poster avant votre tour comme dans le RP d'initiation (je vous fait confiance)

Créer une guilde:
- Il vous faut au moins 2 personnes pour en fonder une compagnie. (Plus
vous êtes nombreux plus vous serrez repérer par un patron)
- Le chef de compagnie élu doit écrire le formulaire sur une feuille de parchemin.
- Il vous faut utiliser la magie pour envoyer le formulaire
d'inscription, un être de classe magique doit l'envoyer avec le sort
"missi".

Formulaire d'inscription:
Nom de la guilde, nb de membres, ect ...


Tous messages ne concernant pas le RP devra etre supprimés par les modos. Merci

Dark Knight !

(((Jared est assis sur sa chaise, les pieds sur la table dans une taverne)))

Cela faisait trois heure que Jared campait dans le bar ! C'était un habitant du quartier pauvre de cette ville moisie. Jared n'avait jamais à manger car chaque pièce qu'il possédait, il la pariait au Jeu ! Stupide ! Puérile ! Irresponsable ! Mais tellement bon pour Leto. Pouvoir lancer les dés, frôler de la main les cartes, bluffer à tout va, bref, lorsqu'il jouait, il ressentait quelque chose d'exceptionnelle qu'il ne rencontrait nul part. Certainement pas lorsqu'il nettoyait les toilettes dans sa maison, la seul tache pour laquelle il était payer. Certainement pas en volant chaque moi un pagne à un vieux voisin aveugle. Non, cette sensation exceptionnelle qu'il ressentait, c'était l'adrénaline. Or, on pouvait largement dire que sa vie était dénué de toute animation et adrénaline hormis le jeu !

Sauf UNE fois ! Oui, une seule fois, il avait ressentit de l'adrénaline ! Il travaillais pour un cultivateur aux champs de Doroestera. C'était un travail ardus et relativement peu payer, mais il avait pus au moins gagner un peu d'argent. Or, un jour, un gros rats des champs carnivore l'avait attaqué. Là, il avait ressentit de l'adrénaline, et une joie immense lorsqu'il avait abattu la bête a coup de grosse pierre. C'est à ce moment là qu'il avait gagner son niveau 1. Mais peu de temps après, sa vie avait repris son cours.

Bref, Jared Leto repensait à tout sa, assis à la taverne "La bonne cruche" lorsqu'il remarqua le nombre de paysans qui rentrait un par un. Tous semblait des aventurier, malgré leurs pagne un peu (beaucoup même) sale. Aaaaahhhh, comme il aurait aimer partir à l'Aventure ! Chevaucher sur un cheval blanc, les cheveux dans le vent, la chemise ouverte laissant apercevoir ses muscles saillants. Mais la vérité était tout autre : pas de cheval, et encore moins blanc, pas de vents mais plutôt de la pluie, et surtout, pas de muscles saillant. Ni chemise...

*Qui sait...peut-être que je pourrais les rejoindre dans leurs quête...*

La soirée s'écoulait lentement, et Jared avait terriblement soifs et faim. Comme toujours, ses dons de chants allaient lui permettre de gagner une ou deux pièce. Il entama alors sa chanson préférée :

Le petit barbu s'avança dans la taverne. N'ayant pas vu le panneau trop haut pour son champ de vision. Il lâcha la porte qui claqua fortement en se fermant. En effet, l'écriteau notifiai de tenir la porte pour ne pas la fragiliser après les précédentes bagarres d'ivrognes. Tout le monde le regardait, il était presque nu et blessé au torse. Dans le moment, il commanda une triple bière et s'assit au comptoir.

Il but d'un trait une bière pour calmer les ragots que l'on commençait à dire sur lui.(Je vais être connu comme le plus grand buveur de bière de cette auberge). Tout s'était enfin calmé dans la cahute quand d'autres personnes passèrent le seuil de l'établissement vendeur d'alcool. Cela faisait un moment que le Nain était accoudé au comptoir à attendre le fameux personnage ou « gugus » comme il l'appelait en ronchonnant. Pendant son combat, il avait été blessé à l'abdomen, il n'avait pas trouvé cela très grave, il avait donc continué son chemin toujours en maudissant le mystérieux personnage qu'il était venu voir pour une affaire secrète.

Il ne savait pas s'il avait été le seul à être appelé par le « gugus », mais dans la taverne de plus en plus de monde arrivait. Il regardait sa blessure: celle-ci avait bien changé depuis la dernière fois. Des croutes jaunâtres et orangées étaient apparues, des sortes de vers et de mouches lui dévoraient les chairs suppurantes de pustules. Il aperçut un homme à l'attitude peu civilisé et à l'allure douteuse. Ils se fixèrent un moment, et quand le Nain commença à se demander ce qu'il lui voulait, il se leva pour lui toucher deux mots. (Je vais lui dire le fond de ma pensée à cette chose)
« - Tagazok étranger, à l'allure douteuse ! Cela fait un moment que je vous observe depuis mon entrée dans ce modeste établissement de campagne, et je ne tolère pas que l'on me dévisage ainsi. D'où viens tu ? Et que fais tu ici ? Je serais d'avis si tu ne cesses pas ton attitude arrogante de régler cela par les armes.
- Un look des plus moches, une odeur nauséabonde émanent de votre corps, une petite taille et une voix désagréable. Vous ne pouvez être qu'un Nain des Montagnes de l'Ouest. Les Nains ne sortent même plus des mines depuis la dernière guerre, il est rare d'en rencontrer un vivant et de bonne humeur.
- Un Nain ? Qu'est ce donc ? Un animal ou une créature ?
-Hum... Mais non ! Quoique il y a un peu de ça, Vous êtes un Nain, vous ne le savez pas ? Vous parlez même comme un Nain. Cet emblématique « tagazok » que vous affichez dans chaque conversation énerve au plus haut point les Elfes.
- Je ne me souviens de rien. C'est affreux qui suis je ? Personne ! EST CE QUE QUELQU'UN ICI ME CONNAIT ? Mais tu parles de moi comme un être sale et répugnant, cependant c'est toi qui a les pieds sur ce que tu manges. Regarde toi dans un miroir avant de parler des autres pecno !
- Le minus à poil, il va se calmer ou faut que lui tombe dessus? ON AIMERAIT BECTER TRANQUILLE NOUS ! C'est la moindre des choses après une dure journée de labeur.
- La table du fond, calmez vous où je vous met à la porte!
- Voyons humble paysan, soyez tranquille, mon ami ne vous blessera plus les oreilles par sa voix disgracieuse... - Mais ! - Il souffre de la folie qui touche toute sa race et semble s'être perdu.
- Cela ira pour cette fois, qu'il arrête où ça va mal finir.
- Quoi ? Il a dit quoi l'autre ? Et merde j'entends rien avec tout ce foutoir.
- Assis toi et parlons, apprenons nous à nous connaître. Tavernier deux bières ! »

DarkLugers dit le korigan était devant le comptoir à boire son Hydromel, cela faisait 3 soirs de suite qu'il restait là à errer dans les méandres de son esprit attendant que quelqu'un l'en fasse sortir. D'ailleurs, il en priait Baraqua le Dieu de la chance qu'il vénérait tant. Notre petit Korigan à peine âgé de 15 ans né humain et abandonné par ses parents à l'age de 3 ,élevé par un couple de Korigans rêvait d'aventures, de parcourir le monde avec une compagnie, de trouver des trésors et reliques sacrée mais aussi de combattre des créatures hideuses sous toutes les formes qu'elles soient.

DarkLugers allait prendre une deuxième chope d'hydromel quand 3 individus l'interrompirent. Soudain le jeune homme comprit que Baraqua lui portait secours. Le Korigan se présenta et entama une grosse discutions autour de pintes d'alcool qu'il leur offrit pour l'occasion cela lui valu 8 pièces d'or, mais DarkLugers s'en léchait complètement les babouches, il venait de rencontrer des amis qui partageaient son rêve d'aventure.

________________

PS: Maitre du Jeu a corrigé certaines fautes. ATTENTION!
De la couleur de ton choix tu choisiras, et ton RP ça embellira.
PAS DE COUTEAU VS N4AVEZ RIEN DU TT !!

Après quelques bières payés par leur nouvel ami. Le nain commença à lui parler amicalement:
- C'est sympa de nous payer des bières. Nous te remercions de ta générosité. Mais dans quel but as tu fait cela ?
- Je vous ai entendu parler d'une quête. J'aimerais me joindre à vous dans cette aventure.
- Je vous avez dit de ne parler si fort de notre quête, si ça se trouve tout le monde le sait.
- Ouai, bah le premier qui nous pique la quête je le démonte sur place.
- Tu n'est que niveau 1.
- J'men fout ! Je veux gagner mon or.
- Oui, mais avant il faut savoir ce que le gugus nous propose comme mission.
- En parlant de cela, nous sommes comment expliquer ?
- T'accouches !
- Actuellement, nous n'avons pas formé de compagnie. En voyant l'heure qu'il est le mage ne viendra pas. Je pense qu'il s'agit que les mages donnent des quêtes seulement à des groupes d'aventuriers.
- Ils nous restent qu'à en former une. Quelle sera son nom ?

A partir de se moment là, le Nain et le groupe balançaient des noms de groupe douteux.

Benobil se sentait seul au monde. Malgré des origines humaines, il ne se sentait pas à sa place avec eux. En effet son physique disgracieux lui valait depuis toujours, railleries et méchancetés. Pourtant il était fort comme un orc (d’après ce on lui avait dit car lui-même n’en avais jamais rencontré) ; et d’une résistance à la douleur supérieure à tous ceux qu’il avait rencontré. En effet, lorsqu’il était encore marmot, Il est tombé malade après avoir goûté de la bouse de dragon du désert. Il avait tellement souffert, son visage fut complètement déformé et devin grisatre, ses ongles devinrent crochus et solides comme des griffes et ses muscles grossirent jusqu'à lui déformer le bassin et la cage thoracique. Il aurait du mourir, mais ce ne fut pas le cas. En touts cas la douleur fut telle que jamais plus il n’eut mal par la suite.

Il était doué pour les travaux des champs et aurait pu décider de devenir paysan comme ses parents, mais les hommes et femmes de son village natal le prenaient pour un monstre et ils mirent le feu à la ferme. Ses parents moururent et il s’enfuit pour éviter la folie des hommes. Il s’habilla d’un drap jauni dans lequel il cacha son corps hideux. Seuls ses yeux verts étaient visibles.
Il erra pendant des jours dans une forêt en espérant pouvoir se nourrir, mais sans arme, il ne pouvait chasser et se nourrissait de feuilles et de racines, avec des fruits sec les jours de chance. Crevant de faim, il décida de se rapprocher d’une ville et vécu en mendiant, volant quelques miettes ou écus dans les marchés. Il se servait aussi dans les potagers et basses-courts.

Bien que miséreux, il parvint à s’organiser et manger à sa faim. Il aurait même pu économiser quelques piécettes, mais à chacune de ses tentatives, il se faisait lui-même détrousser pendant son sommeil. Il dépensait donc son argent dans les tavernes et tripaux en alcool et en femmes en rêvant à une autre vie, où il n’aurait pas à payer l’amour et ne s’endormirait pas saoul tous les soirs. Une vie faite d’aventures, d'or, de gloire et de magie.
Il en était là de ses rêveries, assis à une table de la Taverne "à la bonne cruche », le nez dans sa cervoise comme s’il cherchait à y voir son avenir quand il leva soudain la tête. Une conversation à la table juste derrière lui faisait complètement écho à ses propres pensées. Il n’osait pas se retourner de peur d’effrayer ces clients qui s’imaginaient un avenir identique au sien. Comme il aurait aimé se joindre à eux ! Mais jamais il n’avait eu d’amis humains. Il se décida tout de même à regarder. Les buveurs derriere lui n’étaient pas humains. Un nain, un elfe, un Korigan lui semblait‘il.
Il les écouta parler d’une quête. Ils étaient en train de former une compagnie du nom de douteux. Cette ocasion était inespérée. Il devait absolument se joindre à eux.

Il hella le tavernier pour en apprendre un peu plus.

- Qui sont ils ?
- De quoi parles tu ?
- Du groupe derrière moi!
- Par Crom, tu vas au devant d'ennuis en t'acoquinant avec eux.
- Je sais ce que je fais.
- Et bien vas les voir. Et dans ce cas tu arriveras au niveau 1, car ta témérité mérite ce coup de pouce.

Cette motivation supplémentaire acheva de le convaincre. Se levant d'un bond, il alla s'installer à la table de ses futurs compagnons de route.

- Oyez chers amis, la prochaine tournée est pour moi. Mais je pars avec vous.

La troupe le regardait incrédule. Mais Déjà éméché par l'alcool, ils accueillirent cette tournée supplémentaire avec plaisir.
Le hideux avait parfaitement réussi son arrivée et savait qu'il serait rapidement intégré.

C'était un parchemin ancien , il était écrit dans une langue ancienne les membres du groupe se battaient pour savoir ce qui était marqué. Bulle le lu à haute voix "Noble compagnie si vous rêvez de remplir une mission rejoignez moi demain matin devant le cimetière de cradadoigt."

La compagnie poussa des hurlements de joies et certaines personnes se mirent à rêver dont le nain, totalement bourré ....

Cimetiere de cradadoigt… Ce nom n’était pas totalement inconnu du hideux…
Quelques temps auparavant, un soir qu’il partait dormir dans une grange à la frontière du village, le Hideux buta sur un rat bleu. L’animal était blessé mais il tourna la tête pour regarder Benobil en poussant de petits cris. Etait-il apeuré ou cherchait-il à communiquer ? L’homme n’en savait trop rien. Surpris par cette étrange attitude et la couleur de son pelage, il décida de placer l’animal blessé dans un grand pli de son drap qui lui servait de poche. Il sourit en pensant qu’il était victime d’une hallucination. Il avait trouvé un rat bleu. Ce aurait pu être un éléphant rose. Sur ce, il était entré dans la grange.
Saoul comme il l’était, benobil oublia bien vite le rongeur et sombra dans un sommeil étrange. Il rêva que le rat lui demandait de s’occuper de lui pendant sa convalescence car deux de ses pattes étaient abimées et qu’il lui faudrait un peu de temps pour se remettre. Puis il lui racontat son histoire.
Je suis issu de la lignée princière des Rats Bleux. Mes ancêtres reignaient sur le domaine de cradadoigt. Mais nous avons toujours été martyrisés par les magiciens de tous bords car notre sang sert à toutes sortes de potions magiques. Si bien que nous devions rester discrets. Pourtant notre tanière fut mise à jour. Des Orcs sont venus et ont déposé des ongants partout dans notre riyaume et une mysterieuse maladie apparue. Tous les rats devinrent paralisés en quelques semaines. Ne pouvant plus bouger, ils mourraient rapidement, quand ce n’étaient pas les Orques qui les ramassaient. J’étais moi-même en campgne à ce moment et quand je revint victorieux, la population avais été décimée. Les survivants m’expliquèrent ce qui était arrivé. Je décidais donc de partir à la recherche de mes amis enlevé et suivis les traces des Orcs. Je me suis retrouvé dans le cimetiere de cradadoigt. Les traces menaient à un tombeau gigantesque. Je parvins à m’y introduire et ce que je décrouvrit m’orifia. Il s’agissait d’un laboratoire secret des Orcs. Ils utilisaient les rats pour des expériences. Je me suis approché d’une cage dans laquelle se trouvait un de mes cousins. Il ne me reconu même pas. Il me hurla dessus donnant ainsi l’alerte de ma présence. Les Orcs se ruèrent vers moi. Je parvins à m’échapper de justesse grave à ma petite taille et à ressortir. Mais ils étaient à mes trousses, me lancant toute sorte d’objets dont certains me blesserent. Seul le désir de vivre me permis de continuer de courir. Quand je les ai finalement semés, je m’arrêtai pour reprendre mon souffle. C’est à ce moment qu’un pied failli me réduire en purée. C’était le tien. Et maintenant je suis seul au monde. J’ai besoin de ton aide. Tu n’auras pas à le regretter. Je parais jeune, mais j’ai une grande expérience et je serai toujours de bon conseil.
Quand il se réveilla, l’esprit très embrumé, il sentit quelque chose bouger dans sa poche et se souvint de l’épisode du rat et son drôle de rêve. Un rat bleu, et qui parle en plus. On n’a jamais vu ça. Il prit le rat dans sa main. Celui-ci était bien couleur nuit mais ne semblait plus vouloir parler. Ils se dévisagèrent pourtant une longue minute, se jaugeant mutuellement l’un l’autre. Il est bizarre ce rat.
- Bon je te garde. Je pourrais toujours te manger et revendre ton pelage quand tu seras bien gras.
Un frisson parut traverser le rat.
- Tu t’appeleras Patrak.
Le rat était encore dans sa poche ce soir là. Et voilà que Benobil entendait de nouveau parler du cimetiere de cradadoigt.

Le Nain réfléchissa se demandait s'il allait pouvoir s'exercer au larcin au cœur du petit marché. Il avait repérer un marchand de verroteries, où il avait repérer de magnifiques couteaux d'assez bonne qualité. ce n'était pas une grande hache naine, mais pour débuter une aventure entouré de joyeux camarades.
"- Attendez moi ici deux secondes !" Il partit se faufiler à travers la foule du marché, jusqu'à l'étalage. Les gens le remarquait à peine et se glissa en dessous la table. Le marchand ne l'avait pas vu, et il était très occupé à prouver les caractéristiques miracles de ses produits. Quand le marchand se retourna vers son stock dans son chariot. Il sortit les mains de dessous la table, et tâtonna pour trouver le couteau. (C'est bon le tient, se dit-il.) Il enserra dans sa main, et se recacha en dessous la table. Il partit vite, et apparemment pas repéré. Quand il fut arrivé auprès de ses compagnons, il remarqua qu'il n'avait pas pris un couteau mais plusieurs couteaux. En effet, il en tenait cinq. De son propre chef, il en donna un à chacun de ses compagnons, et en garda deux pour lui.

Il avait toujours un peu mal à l'abdomen, mais sa blessure guérissait en partie grâce à l'alcool qu'il s'était versé dessus. Il reprit ses esprits et fit part de son choix de direction. Il voulait partir par la route en direction du Nord, car il savait qu'il n'y avait rien au Sud à part des pommiers et des champs remplis de vers géants. L'inconnu pour lui signifiait l'aventure, le grain de folie journalier, le stress de l'inattendu.
"En route vers l'inconnu ! Qu'en pensez vous ? J'irais bien voir ce mysterieux cimetière, il y a peut-être quelque chose d'intéressant à voir."

Une fois arrivée au cimetière sous les claquements de dents de Bulle, il attendirent pendant quelques heures dans la nuit d'un début d'hiver, le Nain s'amusait à pisser sur toutes les fleurs des tombes pendant que le Korigan jouait avec son couteaux, le hideux lui dormait à point fermer dans l'herbe mais tout d'un coup ..... !

Ils virent des hautes herbes bouger. Tous se crispèrent, l'ambiance de la nuit aux environs du cimeterre était sinistre. Ils ne voyaient pas à plus de quelques mètres. Les couteaux dans leur mains tendues ils attendaient. Le mouvement ne s'arrêtait pas. Les bruits de cette nuit sans lune amplifiaient leur inquiétude.

C'est alors qu'un petit lapin blanc sorti des herbes.
- OUF...
Quel soulagement.

"On va attendre combien de temps l'autre gugus aux parchemins ?"
Sa voix résonna autour du petit lieu clos par les arbres. Il n'eut pas de réponse tout de suite. En effet dans cette nuit d'automne, il soufflait une légère brise glaciale sur la petite clairière à proximité du cimetière. Il se leva, non pas pour cette fois aller uriner sur les fleurs en l'honneur des défunts, mais pour aller explorer les environs. Il fouillait partout, regardait les moindre traces laissées dans la boue. Regardant sous chaque buissons et fourrées d'où avait surgit le lapin. Soulevant quelques pierres, il aperçut des vers de terre avec un ancien ressentiment en se touchant l'abdomen. Il n'avait désormais plus mal. La nuit était noire et transpercée par un croissant de la lune de la Terre des Races. Après que le Nain s'était calmé au bout de 10 minutes, et n'ayant rien trouvé. Il se rassit scrutant les arbres, qui bougeait par la petite brise venant de la mer lointaine. Pour passer le temps, il attrapa son couteau et une branche longue et moyenne, qu'il commença à tailler.
"J'ai faim, qu'as tu voler au marché des paysans de Doroestera, le Hideux ?
- Tu penses donc qu'à manger !
- J'y peux rien, l'attente interminable ca me donne faim. Va voir toi si tu trouve quelques choses d'intéréssants."

[HRP]*Merci à Mystik pour m'avoir trouvé l'image en correspondance avec le RP ^^*[/HRP]

Pendant le sommeil de Benobil, Patrak sorti de sa poche pour retourner explorer les environs. Il entra pour la seconde fois dans le cimetierre et il grimpa sur la plus haute cripte afin d’avoir le meilleur point de vue et d’établir un état des lieux. L’atmosphere était differente de lors de sa premiere visite. L’odeur répugnante des Orcs avait pratiquement disparue. Comme s’ils avaient vidé les lieux ! Même l’ancienne entrée de leur repère était désormais obstruée, comme si personne ne devait jamais plus y entrer. En y regardant de plus près, il semblai évident que la tombe avait été volontairement défoncée. La seule odeur notable, hormis l’agréable fumet des chairs en décompositions, semblait venir de la chaumière du gardien du cimetierre. Le rat bleu, bien qu’effayé par ce lieu qui aurais pu être celui de sa mort, se dirigea vers la maison. Caché dans l’épais lierre qui grimpait sur le mur, il regarda par une petite lucarne.
A l’intérieur était assis un homme plutôt agé et abimé par le temps. Il était en train de préparer des potions qui migeotaient au-dessus du feu et qui parfumaient tout le secteur. Le vieux se leva difficilement et s’approcha de la fenêtre. Patrak su qu’il était repéré.
Mais ami ou ennemi ? Les hommes apprécient fort peu les rats. Ils les tuent dès qu’ils en ont l’occasion. Mais en cette région précise la situation était différente car les rats bleux respectaient les biens des humains et leur rendaient bien des services, les débarassant de toutes les vermines du quartier. Ce lieu était l’un des rares ou rats et humains vivaient en bonne intelligence. Patrak cherchai à rester discret quand le grand-père s’adressa à lui :
- Est-ce une manière de se cacher de moi, qui vous confie votre premiere mission ? Va donc chercher tes compagnons. Je voulais les attirer grace à la nourriture, mais ils n’ont pas ton odorat, semble t’il. J’ai des choses importantes à leur dire.
Pas encore convaincu, le rat demanda :
- Qui êtes-vous ? Pourquoi vous ferai-je confiance ?
- Les réponses viendont bientôt. Va, le temps presse.

Le Nain réfléchit comme d'habitude en quelques secondes, c'est à dire avec pas grand chose. Le mot "manger" à résonner dans son crâne et se laissait rêver à un dîner copieux. Il ne savait pas si c'était la fatigue ou bien la faim, mais il avait vu le rat parlé, qui en plus était bleu ce qui n'était pas commun.
"Super, on y va tout de suite ! Mais peut-on faire confiance à ce rat ?"
Le hideux le regarda avec des yeux noirs, suivi de Bulle et du Korrigan. il comprit qu'il ne devait pas commencer à chercher les moindres défauts de la proposition. Ils commencèrent à avancer vers le cabanon du gardien, ou aussitôt appeler par le Nain:
"Vous savez comment on appelle ce type de gardien dans notre peuple ? Nan ? Des garde-morts. Il se mit à rire tout seul.
- Je trouve cela ridule, cela ne veut rien dire. C'est exactement leur statut et leur travail.
- Il serait sage de taire avant d'entrer, c'est un lieu de repos pour nos ancêtres.
- Tu as raison, mais pour nous, les Korrigans, nous aimont jouer dans les lieux comme celui-çi, en pensant à nos ancêtres comme s'il était toujours là.
- Pourrions débattre une autre fois sur ce sujet ?"
Le silence revenu en arrivant sur le seuil de la porte. Le Nain martela la porte de coups violents en souriant.

Ils entendirent un grognement derrière la porte. Elle s'ouvrit, et un vieil homme se tenait devant eux. Il les regarda bizarrement et on avait l'impression qu'il s'attendait pas du tout à ce genre de groupe d'aventuriers. Il rabattu son regard sur le Nain et le Korrigan qu'il n'avait pas encore vu. Il paraissait encore plus dérouté devant ce spectacle ridicule. Il les fit entrer tout en restant silencieux et leur servit une de ses mixtures que le Nain avala en quelques secondes. Il s'assit sur une des chaises de sa cabane, et prit la parole:
"- Je suis Kendhal, gardien de ce cimetière depuis 10 années, et cela faisait longtemps que je n'avais vu passer des aventuriers dans ce coin paumé de la Terre des Races.
- Voici Benobil noble guerriers descendant des dragons, DarkLugers un être venu du peuple des Korrigans, et vous avez sans doute remarquer la présence de Gurdil de la civilisation des Nains, et moi même Bulle, une magicienne.
- J'ai fort bien remarquer votre ami quand il a exercé une de ses coutumes locales.
- C'est une marque de respect chez nous, pour montrer que nous sommes contents d'être accueilli par son hôte.
- Je n'en doute pas. Bien je vous connais assez, et c'est l'Archimage Gontran qui vous envoie m'aider. Je suis un de ses vieux amis, à l'époque la guerre faisait rage, et nous avions formé une compagnie à peu près comme la votre. Que de bons souvenirs. Trève de discussions inutiles, heuresement que votre rat est venu.
- Que voulez vous de nous Kendhal ?
- Et bien, j'étais un fort prêtre à lépoque, tel que je pouvais communiquer avec les morts. C'est d'ailleurs pour cela que je vis ici, pour parler avec eux et transmettre des messages à leurs familles. Aujourd'hui je n'ai plus la force de combattre et de traverser des forêts périlleuses, donc je fais appel à vous.
- Très bien, venez en aux faits.
- Durant la dernière Grande Guerre que la Guilde blanche à remporter avec succès, des orques et d'autres créatures ont pû s'échapper des champs de bataille en se réfugiant loin des plaines pour se cacher et y vivre sans se faire repérer. Il se trouve que dans la forêt qui entoure le cimetière se trouve peut-être un ou plusieurs orques formant un bataillon rescapé.
- Pourquoi ne pas appeler la garde impériale de Negozio, il les tueraient sans problème.
- Le problème est qu'il s'installerait ici pour des mois, et dérangerait la population mortuaire de ce lieu. Vous comprenez ? De plus, il s'approprierait l'ancien domaine de la famille Doroestera. Un château trop longtemps abandonné par les descendants, et recouvert la végétation. Par contre, je l'ai déjà visité et je n'ai rien trouvé d'intéressant à y trouver. Alors travaillerez vous pour moi ? Les orques déterrent les cadavres pour leurs consommations personnelles et se rapprochent à chaque fois un peu plus de ma cabane, et un jour c'est moi qu'il emmèneront.


1 - Vous acceptez sa proposition de missions avec une bouffée d'adrénaline vous envahit et vous fait partir sur le champ.
2 - Vous restez un peu perplexe face aux discours que vous tient le vieillard, et vous demandez à le connaitre plus lui et les aspect de la mision.
3 - Vous avez un grand pincement au coeur et un noeud terrible à l'idée de savoir que des orques sont autour de vous à regarder le moindre geste.. Vous avez peur et vous rendez compte que l'aventure c'est pas fait pour vous. Vous refusez catégoriquement la mission pour rentrer dans votre village natal.

Le vieillard apeuré par la réaction du Nain recula dans le fond de son fauteuil. Il reprit ses esprits:
"Très bien, je reprends mon explication. Calmez vous, les âmes s'agitent vite ici. Je suis un ancien prêtre, mais ma vieillesse ne me permet plus de combattre. Ensuite ce n'est pas parce que j'étais un nul, mais parce que je possède des capacités psychiques qui peuvent servir dans cette région. Il est bien sûr normal que si vous butez les orques, vous me protégiez car ils ne viendront pas m'attaquer quand il n'y aura plus de cadavres. De plus, leur présence perturbe la tranquillité des résidents de ce cimetière. Ce que je veux, c'est que vous me débarrassiez des orques qui résident dans la forêt et qui ont pris leur quartier dans l'ancienne demeure des Doroestera. Cette demeure est notre patrimoine, et le cimetière en fait partie. Avant qu'elle soit abandonnée pendant l'occupation de la guilde des nécromanciens de la partie orientale de la Terre des Races. Les descendants ne sont pas apparemment revenu et le château tombe en ruine. Je n'aimerais pas que les orques le détruise. Enfin, si vous n'acceptez pas, ce n'est pas un drame je retournerais m'installer au village."

Mêmes propositions: accepter ou refuser ?